Devant chaque manifestation de l'animalité, devant la fatigue, la faim, la nudité, devant chaque besoin de la chair douloureuse toutes les barrières qui séparent les hommes s'effondrent ; ces subtiles catégories qui partagent l'humanité en êtres justes et injustes, en honnêtes gens et en criminels disparaissent ; il ne reste plus que l'éternel animal, la pauvre créature terrestre, qui doit manger, boire, dormir comme vous et moi, comme tout le monde.
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